François de Jassu de Xavier était né le 506, c'était le sixième fils de Juan de Jassu. Son père fut envoyé à Madrid pour demander que la Navarre, pays où habitait François, soit un pays neutre et l'Espagne ne l'envahisse pas. Sa demande ne s'accepta pas, et la Navarre fut conquise. Les domaines de Xavier furent confisqués. Lors de ses 19 ans François partis à Paris faire ses études. Là-bas il connut beaucoup de personnes parmis eux Pierre Favre et Ignace de Loyola. Ignace de Loyola tenta d'expliquer ce qu'était vraiment croire en Dieu. En 1530 il termina ses études, mais ce fut que 3 ans plus tard que François Xavier compris ce que Ignace disait. Ils décidèrent, alors, de partir à Jérusalem. Comme le temps ne le permettait pas, ils restèrent à Venise. Où il commencèrent à soigner les malades et aider les pauvres. François et 3 autres compagnons accoudèrent à Rome pour parler avec le pape Paul III. Celui-ci nomma, aux «Compagnons de Jésus » (tous ceux du groupe d'Ignace de Loyola et François-Xavier), prêtres et bénissa leur voyage en terre sainte. Comme les Turcs étaient en guerre avec Venise et ils ne pouvaient pas partir à Jérusalem, ce pour cela qu'ils revinrent à Rome et se mirent au service du Pape. L'ambassadeur de Portugal demanda deux compagnons pour l'Inde. Ce furent François-Xavier et Rodriguez qui partirent vers les Indes en bateau. Les mauvais temps s'installèrent dans le bateau, il y avait des vols, des assassinats et des malades surtout des malades, c'est pour cela que François Xavier fut de son cabinet une infirmerie et laissa sa nourriture aux affamés, Alphonse de Souza essaiera de mettre toutes les personnes du bateau contre François, cela échouera. François ira de peuple en peuple convaincant aux personnes que Dieu c'est le vrai Dieu et non pas ses respectifs dieux, comme Malacca. Il partit au Japon, puis il partis vers Chine, mais personne ne voulait l'emmener à Chine car la peine de mort menace n'importe quel chinois qui introduit un étranger dans le pays. Finalement il trouva quelqu'un qui voulait bien l'introduire furtivement. Mais cette personne ne se présenta pas le jour fixé, ni le jour d'après ni celui d'après… François Xavier commença à être de plus en plus malade et une grande tristesse l'épargna. Un jour un marchand portugais trouva François et l'invita à vivre dans sa petite maison face à la Chine. François accepta, mais il allait à pire et ce fut à l'aube du 3 décembre 1552 lors de ses 46 ans que François mourut en regardant son crucifix et en voyant son rêve ne pas s'accomplir. Le jour de sa mort on l'enterra hâtivement dans un coffre rempli de chaux afin que les chairs soient consumées et que l'on puisse retrouver les ossements. Au jour du départ on le déterra. Stupéfaction générale : LES CHAIRS DE FRANCOIS-XAVIER SONT INTACTES.
Encore, maintenant au vingt et unième siècle demeure un problème scientifique non résolu. L'Inde, la Chine et quelques autres pays demande à garder le corps. Plusieurs miracles accompagne le Saint, par exemple en 1634 un jeune Jésuite, Marcel Martulli fut grièvement blessé à la tête par un lourd marteau tombant d'une hauteur de douze mètres. Bientôt ce fut l'agonie. Soudain, le moribond parut entrer en extase(1). Il dialoguait avec un personnage invisible, renouvelait son vœu de partir en mission, demandait la faveur du martyre. Puis s'éveillant : « Je viens de m'entretenir, dit-il, avec François-Xavier ; je suis guéri. » Quelques semaines plus tard, il partit pour le Japon et, bientôt, y mourut martyr. Depuis ce miracle, on a institué, entre les 4 et 12 mars, jour anniversaire de la canonisation, une neuvaine dont les effets sont si prodigieux qu'on appelle « La neuvaine de la Grâce ».
Etat d'une personne qui se trouve comme transportée hors du monde sensible par l'intensité d'un sentiment mystique(2).
Croyance absolue qui se forme autour d'une idée, d'une personne.