Arte
Impressionisme
DEFINITION.
Qu'est-ce que c'est l'impressionnisme?
Le terme Impressionnisme a pour origine l'anecdote suivante : «Ils le prirent, [le nom d'Impressionnistes], pour relever une injure qui leur était adressée par leurs détracteurs et dont ils se firent leur titre de gloire, comme les révoltés des Pays-Bas s'en firent un de l'injure de «gueux.». Au-delà de cette explication, les peintres rattachés à l'impressionnisme avaient une manière particulière de percevoir la nature, non pas en essayant de rendre parfaitement ce qui est vu par l'œil tel un appareil photo, mais en mettant en exergue la surprise qu'elle suscite et son rayonnement. Les impressionnistes ne se préoccupaient ainsi point de nous donner les détails, préférant à ceux-ci l'impression elle-même. La part issue de la sensation de l'artiste est de ce fait prépondérante. Les repères traditionnels (ombres, contours précis, lignes arrêtées, etc.) disparaissent ainsi, ce qui eu pour conséquence de déconcerter passablement le public d'alors qui ne se priva point de dénigrer ces « impressionnistes ».
La part des couleurs revêt quant à elle aussi une importance toute particulière, le peintre cherchant à les rendre aussi riches et vibrantes que possible en les appliquant par couches juxtaposées. Ils mirent ainsi de côté les ombres traditionnelles, se mettant tous à peindre à l'extérieur, face aux couleurs vives et chatoyantes des paysages qui s'offraient à leur vue. On assista ainsi à des colorations inconnues jusqu'alors dans la peinture, rendant la nature d'une manière que l'on était pas habitué à la percevoir, s'attachant à l'impression que produisaient les éléments, le vent, la lumière, le brouillard, la neige,…
Parmi les principaux artistes qui s'attachèrent à l'impressionnisme, l'on peut citer sans hésitation Monet, Manet, Renoir, Cézanne, Pissaro ou encore Sisley.
CONTEXTE HISTORIQUE.
De représenter les choses depuis comme nous savons qu'ils sont - la connaissance intellectuelle - à la représentation de l'apparition mobile avec laquelle les sens les reçoivent, soumis à toutes les influences de la voie - la connaissance expérimentale-, c'est la distance qui existe de Courbet à l'impressionnistes.
Les innovations techniques et théoriques que ceux-ci apportent à la demande une étude détaillée, mais bonne cela (il, elle) doivent avertir qu'au mouvement impressionniste il (elle) ne manque pas de précédents. Rembrandt, Velázquez, Hals, Watteau, Fragonard, Goya, Delacroix, même Courbet et même auparavant, le Venetians, ils n'étaient venus s'inquiétant pour la lumière et son (elle, votre) des effets sur les choses. Étroitement(de près) ensemble il y a aussi trois peintres anglais, qui, pour l'accent qu'ils donnent à la lumière, avancent(promeuvent) le premier postulat de l'impressionnisme; Richard Bonintong (1802-1828) et son (elle, votre) compatriotes Turner et Constable.
Mais dans ces années de la deuxième moitié du siècle XIX, avec les découvertes que la physique fait à la nature de la lumière, quand un intérêt (vif) plus vivant réveille dans les peintres sur les phénomènes lumineux et son (elle, votre) la demande(l'application) à la peinture. La lumière est le véhicule nécessaire de toute l'impression visuelle, pour ce qu'il est logique ce qui constitue le souci premier et principal du peintre. C'est la lumière solaire celui que, tombant avec l'inclination principale ou mineure(secondaire), avec l'intensité différente, directe ou reflétée, sur les choses, produit (élève) l'illusion de la couleur et de la ligne, qui est inhérente au phénomène de différentiation des couleurs. Pour que nous voyions, dans le rigueur, ce n'est pas les objets, mais les taches(endroits) colorées - l'atmosphère, la lumière - qu'ils eux enveloppent et c'est ce qu'il est nécessaire de faire (peignent), puisque c'est la certaine chose qui, malgré le caractère(personnage) irréel de l'impression, pour le peintre a la même valeur que l'objectif.
Comme le résultat de cette théorie, la technologie illustrée (l'habileté)((la compétence)) a subi une transformation profonde. Puisque la rétine vient pour être le laboratoire où les couleurs, qui viennent séparées, se joignent et l'association selon les lois de sharm pour donner la dernière sensation, l'éloge inutile a été faite cela (il, elle) des mélanges dans la palette et son (elle, votre) la juxtaposition était assez, pendant la fin proposée (le but), observant les lois de complémentarité et le contraste.
Dans la conséquence, l'impressionnistes a composé une palette de couleurs pures, bannissant l'obscurité, les tons neutres et gris qui n'apparaissent pas dans le spectre solaire, avec ce que le résultat est une peinture lumineuse, de tonalités (vives) et claires vivantes. La procédure a, en plus, un avantage incontestable : la dont, le mélange (le mélangeage) étant compris par la lumière colorée, le ton résultant a d'une propreté qui ne peut jamais réaliser le mélange physique (le mélangeage) des pigments.
Comme tout ce merveilleux monde coloré, pour devenir visible, cela (il, elle) avait besoin de la collaboration de la lumière libre(gratuite), l'impressionnistes s'est consacré, particulièrement, au paysage, donnant l'origine à plenairista prétendu peignant ou au grand air.
CARACTÉRISTIQUES.
Quoique depuis comme déjà il (elle) ait pris conscience, est là des précédents dans des époques différentes et des pays, il peut être dit l'impressionnisme comme l'école ce qui est née en France, quand un groupe de peintres a commencé à s'intéresser aux problèmes de la lumière et a voulu les appliquer à son (elle, votre) des peintures, formulant quelques règles(autorités) qui peuvent être définies cette voie :
Le peintre doit peindre ce qui voit, la sensation que son (elle, votre) les yeux reçoivent, quoi ce qui sache que les choses sont autrement à depuis (comme, comme) comme cela (il, elle) eux perçoit. C'est l'impression visuelle ce qu'il est nécessaire de transmettre.
Les choses n'ont pas la couleur (appropriée) propre, mais c'est la lumière celui qui produit (élève) et le présente comme une apparition (réelle) royale.
Donc la lumière, les conditions avec lequel cela (il, elle) a lieu (est produite), influencera décisivement l'aspect sensible des choses. L'atmosphère, le jour, la station, etc .. ils changent les couleurs, d'une telle façon que les choses ne sont pas égales à oui même jamais.
Les couleurs modulées et déroulées dans des nuances(ombres) et des tons plus clairs ou plus sombres, ils servent pour suggérer la forme(le formulaire) des buts (des lentilles) et la distance.
La ligne, le contour fermé et décrit bon, ils n'ont aucun sens pour l'impressionnistes.
Dans la nature le noir n'existe pas, comme ce que les nuances(ombres) les plus sombres auront le certain degré de clarté, proveniente des réflexes des choses environnantes et de l'air atmosphérique qui les enveloppe. L'effet général sera, ainsi, de grande clarté.
Pour la vertu des lois de complémentarité, les parties non illuminées auront directement des violettes de tonalités. Les effets lumineux, donc, seront basés sur le contraste binaire : jaune - pourpre.
Pour réaliser l'intensité propre de la lumière (réelle) royale, les couleurs ne sont pas mélangées dans la palette, mais ils sont appliqués cherchant séparément le ton adapté au moyen du système de lentille. D'ici que l'impresionists travaillait avec une série de couleurs limitées à ceux du spectre solaire, ou, rouge, jaune, des violettes, bleues et, dans la proportion de moins, le blanc (la cible).
THÈMES.
Le but principal (la lentille) est de remplacer dominant idéal de Beauté avec le nouveau de Liberté. Pour comprendre ce pas il est nécessaire d'examiner dans l'historique - le contexte social : · Impact du chemin de fer : à la première fois que de ' le concept de vitesse a été éprouvé. La rétine attrapait cette voie ' une réalité déformée '.
· Impact de la photographie : la photographie démontrée que ce qui détermine la vision est la couleur et pas le dessin, avec cela casse(viole) là des expositions classiques précédentes (des approches). La photographie apportée avec cela (lui) le concept du instantané, qui sera si utilisé par Dégaze pour son (elle, votre) les compositions des ballerines.
· Impact de l'huile(du pétrole) dans pipe : il est généralisé à la moitié du XIXTH. Cela (il, elle) apporte j'obtiens une conséquence très révolutionnaire, puisque l'artiste n'a pas parce qu'élaborer soigneusement les pigments, de là que le peintre sort de l'atelier pour faire (peignent) au grand air.
· Impact de la Nature et de la Lumière : être révèle au grand air une nouvelle réalité, une réalité se remplit de lumière, des remerciements à dont (que) la projection est possible la couleur.
· Impact du Temps : c'est l'âge des montres, le temps est un sujet qui hante l'homme et particulièrement au peintre. La technologie (l'habileté)((la compétence)) des nouveaux peintres a besoin de brushstroke rapide et habile.
· le paysage comme sujet principal : c'est une des sortes les plus fructueuses (des genres). Le paysage offre un champ(domaine) où tout enterre de l'impressionnistes se rencontrent(se réunissent) concentré : l'air libre(gratuit), le contact avec la Nature, la réunion avec la Lumière. Celui-ci se rencontrera(se réunira) modifié avec le passage de temps et la couleur de nuances(d'ombres) í Sticos changera comme cela (il, elle) avance(promeut) le jour. À l'intérieur du paysage, aussi il y a fréquent le sujet de la représentation de l'eau de la neige et la glace. Aiment là les surfaces dans lesquelles les réflexes et le chromatique - des nuances(ombres) légères deviennent infinies. L'apparition de la figure(du chiffre) est moins fréquente et si cela (il, elle) il est entouré du paysage. (Maintenant la figure(le chiffre) est un prétexte pour représenter le paysage, tandis que dans le Classicisme cela (il, elle) avait été inversement). Il ne veut pas dire qu'il ne devrait aucun y avoir les scènes d'intérieur quel exposant maximal est Dégazent, que le souci de sujets comme la danse ou les chevaux, s'est rapporté tant de la vitesse que l'instantané.
Bibliographie
Information trouvée :
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Diccionario enciclopedia espasa
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Gran Larousse universal
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Auteurs et ses Oeuvres
Claude Monet (1840 - 1926) : L'expression de la lumière.
Naît à Paris dans 1840, considéré comme un des maxima représentants de l'impressionnisme. Il a été Eugene Boudin qui le conseille qu'il peigne à l'air libre de sorte qu'il puisse recueillir les choses comme ils se présentent dans la réalité, avec sa véritable façon d'être dans la lumière et dans l'air. Ses tableaux sont un ensemble harmonieux, tout en ces derniers est mousse de lumière, jeux de brillant. Pour lui toute la nature est un jeu de lumière, a éliminé de d'elle les ombres, les aucunes grandes lignes noires n'interrompent le brillant bouillant de la peau hommes et paysages. Ses sujets d'inspiration sont les cieux perlinos de Paris, le brouillard qui entoure les découpes et les soleils sans fort contraste mais dissous dans le titilar des surfaces de toutes les choses. Aussi l'est l'eau et les ports, ponts et bateaux qui l'entourent.
Même en étant ces ses sujets d'inspiration, ce ne sont pas ceux-ci les sujets de leurs tableaux, parce que le principal sujet dans ses tableaux est toujours la lumière, toutes ces choses sont conditionnées par les jeux de lumières. Il est possible de signaler dans ses tableaux le processus atmosphérique : Díaz gris, clairs, neigés, le soleil veillé par les nuages, nuages concrets et nuages fumeux, en fin, tout ce qui peut être perçu non seulement avec l'oeil mais avec la peau se trouve dans une technique qu'à la fois il est l'amour de Monet par la nature. Non seulement il s'efforce à recueillir les changements dans la lumière mais pour recueillir le changeant état d'esprit qui produit un objet ou un paysage.
Les touches sont coupées et vibrent en s'adaptant au brillant de chaque coup de lumière. Le traitement du tableau est conditionné par le sujet, sa brosse est adaptée aux vibrations luminiques de la nature. Dans son étape plus populaire, Monet ne peint déjà pas d'objets mais d'atmosphères, non matière mais lumière. Et tout cela avec une petite touche, temblorosa, d'une instantaneidad qui laisse son tableau entouré dans des imprécisions et des brouillards lumineux, sera dans cette étape quand point la série de tableaux de la Cathédrale de Rouen, étant autre sujet préféré aussi Los Alamos. Celui-ci est son legs, il n'y a déjà pas de manières concrètes, tout est pulpe de lumière, matière gasea, nuages en transit, rayons défaits au contact du relief.
Gare de Saint-Lazare (1877). Ce carré fait partie d'une série de douze pièces dans lesquelles Monet peint le même lieu mais à différents moments, en obtenant que ses tableaux soient différents étant donné les effets de la lumière du moment peint. Il est un le de peu de tableaux de Monet où on traite un paysage urbain, nous pouvons remarquer y compris lesquel il n'y a rien de nature en lui, mais la lumière n'est pas artificielle, est la lumière solaire. Dans ce tableau il y a une préoccupation pour recueillir le plus soucieux que le paysage urbain, mais avec une vision optimiste et lumineuse de la réalité, ce qui est remarqué en observant ces fumées qui ne sont pas noirs mais bleus.
Il n'y a rien je concrétise, tout paraîtrait qu'il flotte. Les personnes et les objets sont brouillés et foncés ce qu'il nous permet de donner nous compte que ce que Monet souhaite représenter dans ce tableau sont les fumées, nuages et vapeurs qui couvrent la majorité de la scène. En étant, encore ainsi, capable de transmettre toute l'activité et agilité qu'il y a dans le lieu.
La Madame Monet et son fils (Femme avec parasol) (1875) Même s'à première vue nous paraît que la femme la protagoniste de ce tableau, après avoir observé le meilleur nous rendons compte qu'elle n'est pas la protagoniste mais la lumière qui tombe poétiquement sur son corps et l'atmosphère qui est entourée, par tout tourne autour d'elle si, mais elle n'est pas le sujet.
Dans ce tableau l'observateur cesse d'être observateur et il est transporté au lieu de la scène et est possible à sentir le vent et la lumière, par pardessus la lumière, qu'il y avait au moment que Monet peignait ce tableau, et est qu'il est comme si chaque touche avait un ton différent à à ce qui est précédent et l'ensemble de ces petites taches de lumière nous transmet cela que Monet voulait transmettre, qui sont ses sentiments propres, le vent, la lumière, le parfum, son amour envers les personnes représentées et vers la nature qui les entoure.
Pierre Auguste Renoir (1841 - 1919) : La joie de vivre Renoir naît à Limoges dans 1841, ses aptitudes artistiques a commencé à les développer tandis qu'elle travaillait comme peintre de porcelaines. Ses premières oeuvres montrent d'une part le caractère asystématique de l'artiste et par autre leur modestie, ceux-ci montrent variées influences, mais son esprit coloriste l'approche à Manet, dans sa vaste touche, dans la difuminación des limites des figures et dans son intérêt pour le pas direct de surfaces dans des ombres à à d'autres baignées par la lumière intense.
Vient ensuite une étape dans laquelle elle est commencé à voir dans son oeuvre un désir marqué pour satisfaire à l'observateur, pour représenter des gentils motifs, pris de la vie quotidienne et dépourvus de toute charge de dramatique. Renoir montre moins d'intérêt dans le paysage, étant sa principale préoccupation l'étude de la figure humaine dans ce paysage soumise aux différents effets de la lumière. Il y a en Renoir un intérêt aussi pour la représentation de nouvelles matières, absolument étrangères aux compositions historiques grandiloquentes que promouvait l'académie, en lui le sujet paraît apparaître d'une syntonie très personnelle avec la joie de de ceux-là personnages d'origine modeste qui vont les jours de fête à des lieux de dissémination très populaires.
L'optimisme que Renoir transmet dans ses oeuvres fait que des personnages et des paysages s'intègrent dans un tout gentil, exempt de transitions brusques. Le captage des effets que la lumière produit sur le corps humain est une préoccupation constante dans l'oeuvre de Renoir. L'introduction de personnages dans la végétation le sert à composer une vibrante harmonie d'ombres coloriées. Dans le son nus sujet dominant c'est récemment le comportement de la figure humaine sous la lumière. Dans ceux-ci toutes les touches vibrent sans décomposer l'intégrité des volumes. A disparu la découpe linéaire, le profil rigide des corps, mais on maintient le relief corpóreo et la beauté des manières.
Le Déjeuner des Rameurs (1881) :Cette oeuvre représente de manière absolue le désir de Renoir pour transmettre à l'observateur la joie des personnages. Dans le tableau non seulement il y a une préoccupation énorme pour recueillir tous les effets de la lumière et la lumière elle-même tous ses aspects, mais aussi il y a une préoccupation pour le sujet représenté. Nous pouvons apprécier qu'il n'y a pas espace dans le tableau qui n'est pas touché par la lumière, elle arrive à toutes les faces qui ont dans le lieu, plus dans chacun elle est différente, et est possible grâce à cela, d'apprécier l'action dans le tableau, rien est statique, les faces se déplacent parce qu'elles conversent, tout comme tu elles plies dans ses vêtements et dans la nappe, y compris la bâche et les végétaux se déplacent en raison du vent, tout ceci est transmis par
Renoir à travers la peinture.
Renoir ne doute pas (contrairement à d'autres impressionnistes) en utiliser la couleur noire, parce que jusqu'en lui il peut apprécier de la joie. Je crois que ce tableau est une synthèse admirable de de ce qui est qui est la joie de vivre. La balançoire (1876) Ce tableau pourrait plus être considérée "Impressionniste" que le "déjeuner des rameurs", parce que nous pouvons ici apprécier un plus grand travail dans la lumière et le mineur dans les volumes, encore ainsi le sujet touché est ce dernier, et c'est la cette l'idée de représenter un moment agréable dans un groupe de personnes, sans rien de drame.
Les découpes sont ici perdues beaucoup presque totalement étant donné une touche plus marquée ce qui est traduit dans une plus grande préoccupation pour les effets de la lumière le corps. Encore ainsi Renoir obtient exprimer clairement les sentiments dont composent le tableau, tant par le biais de ses mouvements corporels, comme à travers les expressions de ses faces lesquelles ne sont pas perdues malgré les touches utilisées.
Edgar Degas (1834 - 1917) : La beauté du corps Naît dans 1834, la bonne position économique de sa famille lui permet de consacrer à l'art sans angoisse de Bohème. Ses premières années il exécute plusieurs tableaux de matières historiques, et lesquels chrétiens classiques ne contribuent pas plus grandement à sa gloire.
Commence ensuite à peindre des vues de chevaux, un sujet assez de requérant dans son art par sa spontanéité et un captage agile des mouvements. Commence alors sa vie artiste à être mise en rapport avec les enseignants de l'impressionnisme grâce à son amitié avec Manet. Contrairement à d'autres impressionnistes dans les tableaux duquel la lumière est solaire, avec les rayons de lumière dispersés, en Degas cette lumière artificiel, il est projeté depuis un foyer, en illuminant une zone du tableau. Pour Degas plus que "le plein air" ses idéals étaient "coulisses", "de foyer", scène, perspectives, éloignés du monde naturel et quand le fera à l'air libre il est pour centrer son tableau des sujets de chevaux ou de scènes encouragées.
Non point heures le jour mais les situations, non états de la nature mais sujets concrets. Plus lui on place entre les impressionnistes donc il y a une atmosphère totale dans ses tableaux qu'il entoure aux figures et atténue ses modelés, il y a quelque chose irréel, vague et flottant qui paraît entourer ses manières. Dans les tableaux à l'air libre la plupart de des vues sont au bord de la mer, avec des figures surprises au bord du bain. Parfois c'est une même figure traitée dans plusieurs attitudes différentes. En tout cas c'est toujours la figure féminine celle qui est surpris dans ses attitudes bizarras et compliquées et celle qui occupe le talent de Degas en cherchant des raccourcis et des perspectives compliquées.
Un autre sujet assez touché par Degas est celui des couturières ou les repasseuses, ce le sert à reproduire des scènes d'intérieur avec des complications perspectives et luminiques. Dans ceux-ci on unit un morceau d'humanité et de grands soins avec lesquels sont traités les contrastes et les ombres de lumière. Mais une des matières incessantes en Degas était celui du ballet, de tous les points de vue : du spectateur, des musiciens, essais, niches et danseurs, étant ce dernier celui qui lui a donné une plus grande popularité. Dans ce sujet Degas cherche les perspectives plus audacieux, les points de vue les plus obliques, s'enfuit de la frontalidad et est depuis les angles latéraux, comme depuis l'orchestre et depuis les hauts muguets comme on voit se déplacer aux danseurs.
Il cherche les effets luminiques les plus innovateurs, en jouant avec les lumières de candélabres, en provoquant des éclats, claire-fonce et de la proximité à des plans immédiats, que la lumière naturelle ne susciterait jamais. Les danseurs et les chanteurs paraît qu'ils flottent dans une atmosphère de magie, presqu'ensoñada. Tous ces tableaux ont une matière flottante qu'il vole, qui a qualité musicale.
L'étoile Ou la danseur en école (1878) Ce tableau est un grand exemple des points de vues que choisissait généralement Degas pour ses différents tableaux, dans ce cas il est le point de vue des muguets mais le moment est en outre juste où la danseur surveille vers le muguet, celui qui est bellement recueilli par Degas. Dans beaucoup de tableaux impressionnistes qu'ils sont peints à l'air libre il est possible de percevoir l'atmosphère du lieu, et bien que dans ce cas ce ne soit pas à l'air libre les atmosphères ici ce sont la lumière et la musique, qu'on peut sentir tant dans les vibrations des couleurs comme dans l'expression faciale et corporelle de la danseur. Les couleurs claires utilisées dans le tableau donnent une plus grande beauté à la scène complète.
La classe de danse (1874) Récemment Degas évite de peindre le tableau d'avant, en le faisant cette par fois depuis le flanc de la scène, mais plus que la perspective ce que davantage de flamme l'attention du tableau sont le peu de couleurs utilisées. Je crois que ce tableau a comme principal (s'il n'est pas ce qui est seule) intention recueillir la manière laquelle influencent les rayons de lumière dans les corps des danseurs, des rayons de lumière qui vont dans une seule direction et proviennent depuis un seul point, ce est le jeu de Degas. Dans ce cas cela nous est plus difficile de recueillir l'expression des faces des danseurs, encore ainsi l'expression est claire grâce à la lumière qui tombe lissement dans les corps sensibles, en nous donnant à découvrir chacun des reliefs ses corps et et de ses combinaisons.
Henri Toulouse - de Lautrec (1864 - 1901) : La Parisien de Bohème Naît dans 1864 au sein d'une famille de beaucoup de status économique, dans son enfance souffre un accident qui le laisse bot, étant celle-ci une constante source infelicidad et amertume pour Toulouse et qui le porte à l'alcoolisme. Sa vie incarne à la perfection le paradigme romantique de l'artiste, livré à ce qui est de Bohème et le voisinage d'atmosphères marginales et socialement rejetées. Il nous montre la vie de cabaret et prostíbulos par lesquels cette aristocrate botte et alcoolisée est passée sa vie agitée et brève.
Toulouse - Lautrec accorde un rôle protagoniste au dessin, préfère des intérieurs illuminés avec lumière artificielle aux scènes à l'air libre et a une préoccupation pour l'espace en choisissant toujours des analyses atypiques. Ce qui attire l'attention le Toulouse est la fréquence de sujets de "cocottes" et prostitutas et le ton d'observation aiguë et impartiale dans ce qu'il enregistre, son regard se centre toujours le personnage.
Depuis le début la protagoniste de ses tableaux a été même la figure, quand la scène sera à l'air libre, l'environnement est toujours éludé avec les notes indispensables pour composer et illuminer la figure. Quand point images sa capacité sera traduit dans un registre intime, contrairement aux scènes de cabarets où il adopte une plus grande ojectivité. Ce pourquoi plus lui on identifie à Toulouse-Lautrec il est avec les multiples dessins, gravures, peintures et affiches sur le monde les cabarets et les cafés chantants de Montmartre. Toulouse a ici éprouvé de nouvelles formes de représentation de l'espace : une ou plusieurs figures en premier plan focalisent la composition et servent de référence pour tout l'ensemble.
Les points de vue sont obliques ou diagonaux, accordant ainsi dimension dynamique à l'espace. La ligne, rythmique et sinueuse, est le fil conducteur, en établissant la connexion l'espace et le mouvement. Dans les affiches les approches matières plastiques sont semblables. En ces derniers Toulouse acentúa la stylisation de l'image et ses encres sont plus plates que jamais.
La Goulue en entrant dans le Moulin Rouge (1892) le Moulin Rouge est le cabaret le plus lié à l'oeuvre de Toulouse-Lautrec. La Goulue signifie ce qui est golosa, par appel ainsi par son appétit insatiable, a été peinte très souvent par Lautrec. Dans ce tableau les découpes sont marquées de sorte qu'il soit possible de remarquer la préoccupation de Toulouse pour le dessin, en outre le tableau soit acclimaté dans un lieu fermé et avec des lumières artificielles, mais encore ainsi il soit possible de le considérer impressionniste parce qu'il y a un grand travail dans les effets de la lumière sur les éléments et les protagonistes, ce qui il est possible de l'apprécier dans la grande quantité tons et couleurs utilisées pour peindre le vêtement de la Goulue.
La face de la protagoniste, ainsi que l'expression de son corps sont clairs ou ils nous expriment beaucoup, de de il être par ceux-ci il ne serait pas impossible de se rendre compte du type de lieu où ils sont trouvés. Je crois que ce tableau est un grand reflet des esprits qui tournaient environnement à ces lieux et entrouvre à l'artiste. Jane Avril en dansant Jane Avril est autre femme qui apparaît communément dans des tableaux de Toulouse.
Ce tableau la juxtaposition de plans est notoire que Toulouse utilisait généralement dans beaucoup de ses tableaux, plus que de petites touches Toulouse USA les petites grandes lignes qui lui donnent une espèce de fermeté à l'ensemble et sont les ces grandes lignes ceux qui définissent les différents jeux de lumière de la scène. Une des choses que davantage de flamme l'attention est que peser que Toulouse sentait un grand attachement vers ces lieux ses scènes et les personnes qui les composent sont dessinée avec une ojectivité totale, ou peut-être le peu d'expression de la face de la femme il exprimait aussi ce que Toulouse sentait.
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Enviado por: | Jon Pereda |
Idioma: | francés |
País: | España |